Fondée en 1991 sous la houlette d’Hervé TEMIME, par Jean-Louis-PELLETIER, Philippe LEMAIRE, Jean-Yves LE BORGNE, Monique SMADJA-EPSTEIN, Olivier METZNER et Olivier SCHNERB, l’Association des Avocats Pénalistes (ADAP) s’est donné pour objet « l’étude et la défense de l’exercice de la profession des avocats pénalistes et des droits et principes s’y rattachant ».

Les membres fondateurs ont été rejoints par plusieurs centaines de confrères appartenant à tous les Barreaux français et ayant pour activité essentielle, voire exclusive, la défense pénale.

L’ADAP bénéficie ainsi d’une expertise tout à fait unique résultant du cumul d’expériences des avocats membres lesquels fréquentent quotidiennement les salles d’audiences correctionnelles, les cours d’assises, les galeries d’instruction, les lieux de détention et rétention, reçoivent dans leur cabinet les justiciables dont ils connaissent les attentes, mais aussi la stupéfaction, voire la déception lorsqu’ils sont confrontés au fonctionnement de la machine judiciaire.

L’ADAP entend partager son expérience en organisant des colloques à l’attention du grand public et en participant à des travaux en concertation avec des confrères étrangers.

Elle veille à demeurer un des interlocuteurs privilégiés des pouvoirs publics, ses représentants étant régulièrement consultés par les commissions des lois des Assemblées et par la Chancellerie.

L’ADAP a régulièrement initié des mouvements ayant pour objet la dénonciation d’atteintes au secret professionnel ou à l’exercice des droits de la défense, elle participe aux campagnes d’information sur la réalité de l’état de la Justice pénale mais aussi de la situation des prisons etc.

L’ADAP entend porter haut la parole des avocats qui ont à cœur de participer à une Justice pénale de qualité dans laquelle les libertés fondamentales sont respectées.

Dans une période où sous couvert de garantie de sécurité, les libertés et droits de la défense sont régulièrement menacés, l’ADAP se veut tout particulièrement vigilante et active pour la protection d’un Etat de droit dans lequel les avocats doivent occuper librement toute leur place.

LA PRESIDENCE DE L’ADAP

LETTRE

  • Voici la traduction de la lettre de soutien rédigée à Rome par l’Union des chambres pénales italiennes. Celle-ci représente la quasi-totalité

  • des avocats pénalistes transalpins, répartis en 132 chambres locales pour autant de tribunaux que compte la péninsule


Lien vers l’article publié sur le site de l’Union des chambres pénales italienne ICI.

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  • christiansaintpalais@associationdesavocatspenalistes.fr
  • 116 boulevard Saint Germain 75006 Paris
  • L’ADAP ne fournit aucun renseignement aux justiciables confrontés à une situation pénale.
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